Our Request to Universities & Colleges: Transition to 100% Plant Based Meals

French Version follows

The grim prospect of a planet that will be virtually devoid of forests, wildlife and clean oceans is becoming a greater reality with each passing day. This is no longer futuristic but a stark fact given current trends.

The profound negative impact of animal agriculture on the environment, human health and animals is staggering. Currently 60% of the world’s biomass is livestock with humans at 36% and wildlife at a shocking 4%. Animal agriculture is the leading cause of greenhouse gases 51%, deforestation, and biodiversity loss. At the current rate of extinction virtually all wildlife will potentially disappear by 2026. Almost 70% has been lost since 1970.

The COVID-19 virus, the Marburg virus, the Ebola virus, the Nipah virus, the SARS virus, the MERS virus, the H7N9 bird flu, the H1N1 Swine flu and the seasonal flu can all be traced to have originated from other species. Please note all facts, trends and supporting references as well as associated documentaries are listed below.

Yet despite this well researched trend and outcome, very little has changed in the eating habits of the world population. Although advances have occurred in the development and consumption of plant based alternatives, the impact on the underlying negative trends has been negligible. There has simply not been sufficient mass adoption of plant based diets globally to reverse current negative trends.

Universities are at the forefront of science and education. Their mandate is to be objective visionaries at the front line of positive change and leadership. Universities should be emphasizing and enacting the policies required to move rapidly towards a 100% plant based diet at least within their institutions. As per the old adage “actions speak louder than words”.

However, the evidence is disappointing. Although many universities are now defining or accrediting themselves as following “sustainable practices” (ie practices which are ecologically sound, socially just and environmentally viable)”, beef, chicken, pork, fish, dairy, eggs etc. are still being served at virtually all university and college campuses. This is not ecologically sound nor environmentally viable. Although more plant based options are being made available, this is like putting out raging wildfires with garden hoses. It is simply and profoundly insufficient.

We are requesting that universities and colleges move forward quickly this academic year and transition all food services within their domain to healthy 100% plant based offerings. This will be both inspirational and motivating for their students to follow plant based diets at home. And this will encourage students to spread the example within their families and friends.

This proposal is not radical nor bold – it is fundamentally essential if we are to reverse this destructive decline of the environment, its wildlife, human health (pandemics and diet related diseases), and to stop the incalculable confinement, torture and slaughter of billions of animals annually.

Notre demande aux universités et collèges: transition vers des repas 100% végétaux

La sombre perspective d'une planète qui sera pratiquement dépourvue de forêts, d'animaux sauvages et d'océans propres devient de plus en plus une réalité de jour en jour. Ce n'est plus futuriste mais un fait frappant compte tenu des tendances actuelles.

L'impact négatif profond de l'agriculture animale sur l'environnement, la santé humaine et les animaux est profond. Actuellement, 60% de la biomasse mondiale est constituée d’élevage des animaux avec 36% d’humains et 4% pour la faune. L'agriculture animale est la première cause de gaz à effet de serre à 51%, de déforestation, et de la perte de biodiversité. Au rythme actuel d'extinction, pratiquement toute la faune disparaîtra d'ici 2026. Près de 70% ont été perdu depuis 1970.

Le virus COVID-19, le virus Marburg, le virus Ebola, le virus Nipah, le virus SRAS, le virus MERS, la grippe aviaire H7N9, la grippe porcine H1N1 et la grippe saisonnière peuvent tous être attribués à d'autres espèces. Veuillez noter que tous les faits, tendances et références à l'appui ainsi que les documentaires associés sont énumérés ci-dessous.

Pourtant, malgré cette tendance et ces résultats bien documentés, très peu a changé dans les habitudes alimentaires de la population mondiale. Bien que des progrès aient été réalisés dans le développement et la consommation d'alternatives à base de plantes, l'impact sur les tendances négatives sous-jacentes a été négligeable. L'adoption massive de régimes à base de plantes n'a tout simplement pas été suffisante dans le monde pour inverser les tendances négatives actuelles.

Les universités sont à la pointe de la science et de l'éducation. Leur mandat est d'être des visionnaires objectifs en première ligne du changement positif et du leadership. Les universités devraient mettre l'accent et mettre en œuvre les politiques nécessaires pour passer rapidement à un régime 100% végétal, au moins au sein de leurs institutions. Selon le vieil adage, «les actions sont plus éloquentes que les mots». Cependant, les preuves sont décevantes. Bien que de nombreuses universités se définissent maintenant ou s’accréditent comme suivant des «pratiques durables» (c’est-à-dire des pratiques écologiquement saines, socialement justes et viables sur le plan environnemental) », le bœuf, le poulet, le porc, le poisson, les produits laitiers, les œufs, etc. tous les campus universitaires et collégiaux. Ce n'est ni écologiquement rationnel ni viable sur le plan environnemental. Bien que davantage d'options à base de plantes soient disponibles, c'est comme éteindre les incendies de forêt avec des tuyaux d'arrosage. C'est simplement et profondément insuffisant. Nous demandons aux universités et aux collèges d'avancer rapidement cette année universitaire et de faire la transition de tous les services alimentaires de leur domaine vers des offres 100% végétales. Ce sera à la fois inspirant et motivant pour leurs élèves de suivre des régimes à base de plantes à la maison. Et cela encouragera les élèves à diffuser l'exemple au sein de leurs familles et amis. Cette proposition n’est ni radicale ni audacieuse - elle est fondamentalement essentielle si nous voulons inverser ce déclin destructeur de l’environnement, de sa faune, de la santé humaine (pandémies et maladies liées à l’alimentation), et mettre fin à l’incalculable enfermement, la torture et le massacre des milliards d'animaux chaque année.