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Respect pour les droits de l'homme au Virunga

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Objet : Violations des droits de l’homme auprès des communautés riveraines du Parc National des Virunga (RDCongo), commises les gardes parc de l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature, avec le support de l’Union Européenne et le gouvernement Belge.Chers représentants de la coopération au développement de la République Démocratique du Congo, en particulier celle en faveur de la gestion du Parc National des Virunga,La gestion du Parc National des Virunga (PNVi), réalisée par l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN) et les organisations environnementales internationales (World Nature Fund, Société Zoologique de Francquefort et de Londres, Wildlife, etc.), est contestable. Au lieu d’une protection efficace de la diversité biologique, considérée comme un aspect majeur du développement de la RDC, la gestion policière du parc a engendré les violations des droits de l’homme et l’impunité dans la région. Ceci moyennant des tactiques de terreur à l’égard des communautés riveraines du parc : des assassinats, des violations physiques et sexuelles, la destruction des maisons et des cultures, la taxation des ressources vitales, la migration forcée et des atteintes à la liberté d'expression.           Avec cette pétition, la Voix des Voisins du parc Virunga exige que les bailleurs internationaux prennent leur responsabilité et que l'assistance à la RDC prenne en compte les droits des communautés locales et autochtones riveraines du Parc National des Virunga.Depuis la reprise du support international (à partir de la Banque Mondial, l’Union Européenne et le gouvernement belge) à l’ICCN et ses partenaires, les hostilités des gardes parc et ses supérieurs à travers les riveraines des Virunga ont augmenté. Même si l’ICCN et la communauté internationale assument de façon officielle une approche de Conservation Communautaire dans les aires protégées, les crimes contre l’humanité et le support international y continue jusqu’à présent. Vue la superficie du parc, qui se situe dans la région avec la plus forte densité de population du pays, la gestion répressive du parc et l’impunité qui règne parmi les gardes parc affectent des milliers des voisins d’une façon journalière.  Bien que l’accès aux ressources naturelles (la terre, le bois, etc.) est précaire dans l’entier de la région, même pas un dixième du budget du parc supporte des projets d’un développement durable des communautés riveraines.Ce qu’on veut disputer avec cette pétition est que la gestion du parc envisage l’insécurité, l’ appauvrissement et le sous-développement des communautés riveraines (autochtones et indigènes) du parc. En plus, les attaques des gardes parc s’effectuent suite aux abus de pouvoir individuels des gardes et suite aux commandes des supérieurs . L’application des tactiques de guerre par les gardes parc (armés, entrainés et payés mensuellement à partir du support Européen et Belge) est intolérables et contraire aux déclarations internationales. Les organisations environnementales sur terrain observent. •    Vue les Résolution des Nations Unies et les (motions aux) Résolutions de       l’Union Européenne, plus spécifique :PE Résolution du 21 Février 2008, qui condamne les violences sexuelles systématiques à l’Est de la République Démocratique du Congo comme une crime de guerre, et,-    PE Résolution du 18 Décembre 2009, sur les échecs de la protection de la population civile contre les violations des droits humains et de la justice dans la République Démocratique du Congo,•    Vue la Déclaration du Conseil de l’Europe et la Commission Européenne sur la situation dans la République Démocratique du Congo,•    Vue les déclarations du Gouvernement Belge vis-à-vis de la situation des Droits de l’Homme dans la République Démocratique du Congo, et le Programme collective à l’éradication et la prévention des violences sexuelles contre des femmes, jeunes et enfants,•    Vue la Conférence sur la Diversité Biologique dans la Coopération au Développement Européenne (2006) et la Convention sur la Diversité Biologique, qui garantissent l’accès aux ressources naturelles pour les communautés locales et indigènes.Nous, signataires, exigeons des Gouvernements Belge et Européen, et autre bailleurs internationaux de la conservation dans la République Démocratique du Congo, en particulier au Parc National des Virunga:•    D'imposer l'arrêt immédiat aux violations des droits de l’homme par l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature vis-à-vis de la population riveraine du Parc National des Virungas,•    De prendre immédiatement leur responsabilité comme acteur international majeur dans la région,  par la révision des investissements agréés et par le lancement des projets de développement/conservation communautaire réels, des programmes de compensation et de punition judiciaire afin de rendre justice aux victimes de la gestion du Parc National des Virunga. De conditionner les futurs investissement au respect des droits de l’homme, en général. •    De supporter des projets de développement durable, supporté par et en faveur des communautés locales, à garantir l’autonomie des communautés indigènes et locales. •    De forcer un arrêt à l’installation policière, non  participative des aires protégées et d’exploitation sans garanties suffisantes pour la survie des communautés indigènes et locales.Recevez, messieurs, mesdames, l'assurance de notre considération distinguée,

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