Une alternative.

Entendu que l'économie du Canada se porte bien puisqu'il produit toujours une abondance de biens et de services mais que, par contre, le système monétaire fait défaut;

Entendu que le cancer affectant le système monétaire actuel pourrait finalement provoquer l'effondrement de l'économie canadienne;

Entendu qu'une économie saine et efficace doit avoir un système monétaire qui réglemente le volume d'émission et de distribution du crédit monétaire de façon à refléter la capacité réelle de produire et de distribuer les biens et services en tout temps;

Entendu que l'intérêt qui exige d'être payés avec un argent qui n'est pas encore existant est l'une des principales causes du chaos économique. (Au contraire, les intérêts payés avec un argent pré-existant n'affectent pas plus l'équilibre entre l'argent et la richesse réelle que ne le fait le paiement mensuel pour la location d'une voiture.);

Entendu que le système bancaire émet l'argent et le crédit (dont il est le seul distributeur) sous forme de dette qui doit être remboursée avec l'accrut d'un intérêt qui n'a pas sa correspondance monétaire et qui, parce qu'il nécessite des prêts supplémentaires pour tenter un équilibre irréalisable, provoque une expansion exponentielle de la dette. (Comme exemple, la Banque peut créer à partir de rien 100 unités de monnaie sous forme de dette et demander que la Société rembourse les 100 unités + 10% par an. La Société devra, alors, continuellement emprunter pour tenter de payer l'inexistante valeur monétaire de 10% et le résultat sera un déficit continuel de remboursement de dette. );

Par conséquent nous, les soussignés, exhortons le gouvernement du Canada d'agir comme suit:

Que le gouvernement légifère contre les banques pour interdire l'intérêt lors de l'émission de l'argent dette. Par contre, qu'un paiement unique, à partir de l'emprunt lui-même, dédommage la banque pour ses services. (Comme exemple: La Banque crée 100 unités de monnaie dette pour la Société. À partir de cet emprunt d'argent nouvellement créé la Société rembourse, pour les services bancaires, 10 unités ou un autre pourcentage relatif à la durée du prêt. La Banque va rediriger ces unités vers la Société lorsqu'elle payera ses employés et dépensera ou investira le reste de l'argent. La Société finira par récupérer les 10 unités et sera en mesure de rembourser complètement, à la Banque, les 100 unités empruntées. Symboliquement: A emprunt + B services ≠ A. Cependant, A – B + B = A)

Nous demandons que ce changement soit d'abord appliqué à notre propre banque nationale, la Banque du Canada.

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